L'artiste Français Yves Falieres de Riviere a fait ses études a l'école des beaux arts de Paris et a l'école spéciale d'architecture de Paris où il a obtenu le diplôme d'architecte. Il a suivi des études d'urbanisme à l'université de Vincennes. Il est urbaniste SFU.Il a exercé sa profession étudiant en construisant de nombreux immeubles, maisons, bureaux, écoles, banques, sièges sociaux, centre commerciaux, logements sociaux, en France, au Portugal et dans de nombreux pays.
Il a travaillé comme décorateur, plasticien, designer d'objets diverses, et a dessiné des meubles. A Londres il a fait des projets de bateaux fluviaux sur la tamise. En 1974, ses travaux, Architecture, recherche plastique, Urbanisme sont reconnus à l'occasion du Grand Prix International d'Architecture de Bruxelles. C'est un déferlement Médiatique, il sort de l'anonymat et fait la première page des Journaux, Radios, Télévisions. Il rencontre les décideurs, les Politiques, les cabinets ministériels, les hauts fonctionnaires et est invité à effectuer des conférences dans le monde entier. Nombreuses parutions également dans la presse professionnelle sur l'Architecture, l'Urbanisme, l'Architecture intérieure. Conférences en France, en Europe, dans le monde entier.
Il a travaillé sur plusieurs projets de rénovation urbaine dans les villes de Nîmes Angers Paris etc. En 1971, il fit sa première exposition à Sainte Enimie. Son travail consistait a exprimer la réalité visuelle : « C'est un exercice basique que j'ai appris a l'école des Beaux Arts » affirmait-il Yves.
Après cette première exposition et suite au grand prix international qu'il reçu a Bruxelles, Yves Falieres reçu un grand nombre d'invitations afin d'écrire et d'expliquer son travail dans plusieurs universités renommées du monde entier. A la fin des années 80, il commença a créer ses premiers croquis abstraits : « Ce fût une période de maturation. Je travaillais sur ce que je sentais en même temps »
Dix ans plus tard, a la fin des années 90 il fit des croquis avec son appareil photographique et il commença à travailler la photo qu'il appelait alors : « la vision immédiate de l'Art Moderne. » A cette époque il fit de nombreux travaux publicitaires avec plusieurs agences et il participa à l'UNICEF, AMNESTY.
Comme un voyageur qui rencontre le monde, enregistrant tout ce qu'il voit et ce qu'il sent Yves faisait des photos et des croquis pour retenir la réalité et à partir de ces clichés il travaillait sur la peinture tel le voyageur pictural.La réalité visuelle se mélait aux sentiments et aux odeurs l'artiste était a la fois un photographe et un créateur de peinture.
La création devenait alors une organisation entre les couleurs, les proportions du sujet, les photos, pour donner à l'ensemble un équilibre.Ainsi à travers ce travail Yves était une sorte de journaliste et Photo-journaliste qui capturait l'immédiat et allait ensuite dans son atelier agir tel un peintre de la mémoire.
Les photos sont en général noir et blanc, argentiques, et sur cette base l'artiste a une totale liberté d'intervention. Cela donne un Art Pictural qui n'est plus la simple photo d'un paysage, mais qui devient une histoire en mouvement, ce que Yves dénomme comme étant le symbole de la rencontre entre l'image instantanée et la peinture.A travers cette nouvelle conception, l'artiste a fait plusieurs expositions très bien acceptées par le marché des Arts. Ces photos peintures et peintures photos sont considérées comme des carnets de voyage où la réalité est exprimée à travers la réflexion.
Ce mélange de peinture abstraite et de réalité visuelle caractérise aujourd'hui son oeuvre...
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Il n'est jamais malade, n'a pas fait d'études, ne part jamais en vacances, réalise un très gros chiffre d'affaire. Cet objet utilitaire, sorte de chariot, dont la photo est rappellée ci-contre n'a pourtant aucune compétence et il n'a pas droit à la parole. Il n'effectue aucun service, il participe au libre-service, c'est un acteur passif de la distribution commerciale. Puisqu'il n'a pas la parole, vous devez vous,commerçants d'accueil et de compétence, prendre cette parole, développer encore plus le dialogue dans vos entreprises et ainsi si vous vous impliquez rééllement vous pourrez gagner contre ce caddie en or massif. A la société du libre service nous opposons une société de dialogue, de service, de compétence, où le patient, le consommateur, le client, est reconnu, identifié valorisé. Le conseil qualifié que nous développons dans la vente qualitative permet au spécialiste du conseil qualifié de se retrouver en première ligne et cette spéficité qui fait la force de nos entreprises. |